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Les États-Unis sont la plus grosse (soi-disant) démocratie de la planète, mais on continue d’y perpétrer des meurtres massifs, sous couvert du premier amendement.
Ces dernières années, des fous furieux très jeunes (en moyenne 18 ans) commettent des tueries d’enfants issus de la migration ou des meurtres de couleurs.
Barak Obama avait tenté de lutter contre le lobby des armes aux USA, mais c’est une industrie lucrative qui appartient à la mémoire du génocide culturel que sont les envahi-tueurs exilés aux Amériques.
C’est presque le nec plus ultra de la fondation du colonialisme, car les peuples Européens ce sont attribués directement la légalité d’un pays qui ne leur appartenait pas, et qui ne leur appartiendra jamais sans le sang versé pour ce faire.
C’est une nation de sang. Un peuple de conquérants, qui ce sont attribués plus tard la notoriété de pouvoir intervenir dans toutes les guerres du monde, souvent sans aucune légitimité à part celle du gain, du profit et du même esprit qui a animé la construction d’un pays inventé en délogeant les autochtones.
De fait, la notion du premier amendement a été posée sans histoires. Déloger, tuer, s’attribuer et occuper légalement un pays qui n’est pas le sien est devenu une « liberté » conventionnelle chez eux. On est fier d’être un nouveau pays qui a conquis l’âme des autres avec l’aide de Dieu.
A l’heure ou on reproche les pires crimes de guerre à Poutine et à la nation Russe, on oublie un peu vite que les faux dirigeants du monde ont acquis leur puissance grâce aux mêmes astuces.
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Oui, le monde est de plus en plus violent. Oui, les nouvelles générations doivent affronter les peurs climatiques, les peurs migrantes, les peurs de la montée des sociétés totalitaires dogmatiques et religieuses, la peur des virus, et que sais-je encore.
Je ne sais donc pas si le désir de désarmer le monde est possible, et ne l’a jamais été vraiment. En revanche, je sais qu’on ne peut pas s’appeler une « démocratie » et permettre à chacun d’être armé pour tuer son prochain, son voisin, son collègue, son passant de rue.
A noter que la majorité des crimes de masses des dernières décennies aux States sont d’origines racistes et suprémacistes (ils l’ont peut-être toujours été). Ce qui met en avant l’idée que ce pays est en déroute depuis des lustres, totalement acquis à la cause du nationalisme mortifère. Nationalisme usurpé d’ailleurs, puisqu’ils sont des envahisseurs patentés.
Il n’y a certes pas beaucoup de nations qui peuvent se targuer de ne pas avoir pratiqué le colonialisme. Mais il y a une différence entre utiliser un pays pour ses ressources et s’en faire le nouvel habitant officiel en laminant sa population, et devenir la plus grosse puissance mondiale, sous couvert d’une attribution légale de la chose.
Le monde est devenu une horreur légaliste qui autorise ça et là des comportements déviants et fallacieux pour des histoires financières et boursières. Les lobbys et les trusts qui dirigent le monde n’en ont rien à carrer des problématiques climatiques, ils vous pissent à la raie et encaissent les dividendes.
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Nos sociétés de monétarisations et d’industries ne sont pas compatibles avec des démocraties responsables, de fait, aucune ne l’est. Le monde est une porcherie à ciel ouvert, avec de la boue sur les essieux et de la merde au fond du calebard.
On fait tous semblant de diriger quelque chose qu’on porte aux nues. Des valeurs et des principes qui nous représentent, qu’on bafoue, qu’on ridiculise, qu’on juge et porte en modèle pour promouvoir les futurs états qui serviront le capitalisme de la mort annoncée de tous. Nous sommes des tocards qui élisons des tocards qui gouvernent les tocards.
Le monde entier donne des leçons au monde entier, parce qu’il est ainsi convaincu que son message sera porté, entendu et partagé. Le monde entier pense avoir une grosse paire de couille. Le monde entier se sent galvaniseur du monde entier. Le seul bémol, c’est que le monde entier ce n’est que quelques puissances mondiales colonialistes qui ont créé et mis en place la plupart des entreprises lobbyistes qui gouvernent à leur place.
Et le monde entier ne se sent plus pisser dès qu’il s’agit de protéger l’industrie et le capital des entreprises, quelles qu’elles soient. L’impunité est Total (oui y’a un jeu de mot), et on vous sert la soupe écoresponsable et l’électrique à tout va pour ce faire. On vous dit qu’on a la solution, et à chaque remaniement de gouvernement on vous promet plus, toujours plus, encore plus… pour toujours moins, et encore moins.
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Les éléments de langage sont tellement légions qu’on est habitué à croire que ce qu’on nous dit est faux, mais on l’accepte par principe de précaution électorale, par ce fameux principe fumeux de la démocratie des urnes. Même si on sait qu’on se fait bien enculer, tout les 5 ans désormais, donc bien plus vite.
Tout ça pour dire que les états peuvent être attachés à des jambes de bois et y mettre du sparadrap, c’est décoratif mais toujours bancal. Ainsi va le monde qui parle au monde. Je t’handicape, tu t’handicapes, il s’handicape, et ses pluriels.
Et au final, on fabrique aisément des soucis et des problématiques pour faire semblant de tenter de les résorber. Ce qui donne une fausse légitimité aux gouvernements d’agir contre vos droits, en vous faisant croire que c’est pour les protéger.
A part aux États-Unis, où le premier amendement laisse encore le droit à la liberté de tuer innocemment et sans distinction des races, sauf si on est suprémaciste et anti IVG, mais qu’on aime décidément pas trop les enfants de couleurs… en tout cas pas suffisamment pour protéger la vie de ceux qui n’en valent pas vraiment la peine.
Faudrait voir à ne pas inverser le système de la colonisation !
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Amen (les armes), Tutti Quanti (les massacres) et Tralala (la liberté)…
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©Le Docteur solde ses dernières libertés, une arme achetée un like offert.
(Dessin: Shusaku Takaoka)
Les déraisons du Docteur Burz 